LA FIN
Je m’abreuverai de cyprine
A ton orchidée sublime
Ambroisie sacrée Au goût de miel sucré
Je demeurerai là, évanouie, ivre d’amour Mes palpitations seront de moins en moins perçues.
Mon cœur, perclus d’une douce douleur, ne battra plus. Je mourrai entre tes jambes, comme une esclave déchue.
Au lever du soleil, tu m’enterreras sous le sable chaud, Et l’on n’entendra plus jamais parler de moi…
Susanna Massa
Sublime mais d’une souffrance extrème
J’aime bien ce poème. A defaut de parraitre choquant je le trouve trés beau.