
En suivant le soleil du nord au sud, le film croise la route de divers animaux: ourse polaire, hordes de loups, caribous, léopard, oiseaux, éléphants ou lions. Un grand voyage à travers la planète pour dire sa beauté et sa fragilité.
Cinq ans de tournage auront été nécessaires à Alastair Fothergill et à son équipe de La Planète Bleue pour réaliser Planet Earth.
Ce ne sont pas moins 5 ans de tournage, 200 décors différents, 40 équipes de tournage et plus de cinquante millions de dollars de budget qui ont été nécessaires au réalisateur…

Périple spectaculaire à travers les saisons, ce film d’une durée de 90 minutes nous transportera de l’océan Arctique au printemps à l’Antarctique en plein hiver.

Les toutes dernières technologies en matière de prise de vue en haute définition ont permis de tourner des images d’une beauté à couper le souffle et de mettre en valeur la vie qui palpite et bouillonne à chaque instant, sur le moindre centimètre carré de notre planète.

Planet Earth fait suite à Deep Blue (La Planète Bleue), succès mondial couronné par plusieurs prix
NOTES DU REALISATEUR:
L’intention
«Je n’ai voulu donner aucune leçon, mais célébrer notre planète. Car, oui, elle va mal, et beaucoup d’animaux et de paysages que nous montrons auront disparu avant vingt-cinq ans. Cela dit, quand je me suis lancé dans ce projet, il y a six ans, on ne parlait pas autant des problèmes écologiques qu’aujourd’hui. Cette prise de conscience, liée à l’aggravation de la situation, est finalement bénéfique pour le film.»
La difficulté
«Quand vous décidez de filmer plusieurs espèces animales, c’est autant de soucis météorologiques et géographiques à gérer. Un des moments les plus compliqués fut de saisir les oiseaux de paradis. Il a fallu attendre des heures, dans un climat humide et sous une très faible lumière, des volatiles qui arrêtent leur danse d’amour à la moindre lueur artificielle.»
La règle
«Quelle que soit la situation, il était hors de question d’intervenir. Ainsi, l’ours polaire qu’on voit rater sa proie est sans doute mort de faim. De toute façon, placés à 1,5 kilomètre, nous ne pouvions rien faire. C’était dur d’assister à la scène, mais c’est la réalité des choses.»



Quelques gestes simples à faire
Trier ses emballages ménagères car cela permet d’economiser de l’energie au centre de recyclage, ensuite jardiner naturel en limitant ou supprimant les produits phytosanitaire (insecticide, herbiciden fongicides) qui polluent les eaux.
- Prendre plutôt une douche qu’un bain, ne pas laisser couler l’eau si vous ne l’utiliser pas, fermer bien le robinet
-Manger moins de viande et privilegier les legumes, fruits, poissons.
-Privilegier les produits alimentaire naturelle au lieu des produits industrielle
-Se deplacer le plus souvent en vélo, oublier la voiture pour les petits trajets
-Prendre les transports en commun, privilegier les escaliers que l’escalateur ou ascenseur…
-Utiliser des produits éléctromenager ecologiques (classe A)
-Se meubler avec des materiaux durable
-Eviter les bombes arésols et parfums d’ambiance (utiliser plutôt les encens aux plantes)
-Privilegier les produits bio, acheter local et de saison, s’acheter un sac non jettables pour faire ses courses
-Ecrire sur du papier recyclé
-Eviter les produits de consommation avec des emballages à l’unité (privilegier les produits en vrac)
-Ne laisser pas vos appareil en veille (télé, ordinateur…)
-Eviter de laisser le chauffage la nuit quand vous dormez
-Changer d’ampoules en mettant à la place des ampoules basse consommation

http://oceans.greenpeace.org/fr/
http://www.fondation-nicolas-hulot.org/
http://naturendanger.canalblog.com/