SUSIE

Bienvenue dans mon monde

Chanteurs sans frontières

Ethiopie

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Goldman (Hommage à Daniel Balavoine)-Confidentiel

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Balavoine/sa vie

Classé dans : Musique BALAVOINE — susie @

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Né à Alençon le 05 février 1952
Décédé le 14 janvier 1986

Enfant, Daniel Balavoine s’imagine député, mais il préfère opter pour une passion tout aussi expressive : la musique. Il se produit alors comme chanteur dans différents groupes dont ‘Présence’ qui se disloquera. Daniel Balavoine devient le choriste de Patrick Juvet mais se révèle quelques années plus tard. Il est propulsé au rang de star aux côtés de personnalités telles que France Gall, Diane Dufresne… dans une aventure non moins légendaire : ‘Starmania’, l’opéra pop-rock de Michel Berger et Luc Plamondon. Entre temps, il s’enferme en studio et concocte un tube à la genèse de sa popularité : ‘Le chanteur’. Les scènes de l’Olympia et du Palais des Sports l’accueillent : il triomphe. Fervent amateur de voiture et de vitesse, il participe au rallye Paris-Dakar, notamment dans le cadre d’oeuvres humanitaires… Sa dernière escapade s’avèrera fatale, il meurt à la suite d’un accident en hélicoptère laissant derrière lui femme, enfants… et quelques milliers de fans.

Tous les cris des SOS

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Aimer est plus fort que d’être aimé

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BALAVOINE/paroles…

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Frappe avec ta tête

( à l’écrivain argentin)

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Sous la torture
Derrière les murs
Les yeux remplis d’effroi
L’homme aux vœux purs
Souffre et endure
Les coups sourds de la loi
Noyés par les bulles rouges
Ses mots muets
S’élèvent et s’écrasent sur la paroi
L’écrivain plie mais ne rompt pas
Ressent une étrange douleur dans les doigts
Délire en balbutiant qui vivra vaincra

Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s’inquiète
L’homme que l’on croyait endormi
Frappe avec sa tête

A court d’idées
Ils t’ont coupé
Et ta langue et les doigts
Pour t’empêcher
De t’exprimer
Mais ils ne savent pas
Qu’on ne se bat pas
Contre les hommes
Qui peuvent tout surtout pour ce qu’ils croient
Et l’homme infirme retrouve sa voix
Défie le monde en descendant de sa croix
Et sort la liberté de l’anonymat

Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s’inquiète
L’homme que l’on croyait endormi
Frappe avec sa tête…

Pour la femme veuve qui s’eveille

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Petite jaune au boulot
Courbée l’échine
Femme douce vit dans les nuits câlines
En bleus de Chine
Aux frontières de Shanghaï
Faut bien qu’elle travailler
Pour nourrir
Nourrir ses fils
Et dans le monde c’est partout pareil
Pour la femme veuve qui s’éveille
Comme celle de Koustanaï
Dont l’amant n’est qu’un détail
Mort au camp de travail
Seul champ de bataille
Oh inconnue
Dont la peine insoutenable
Est insoutenue
Met son cœur à nu
Fait comme une entaille
Une entaille
Bébé dans le dos penchée sur une terre
Lâche et hostile
Fille du peuple Massaïs
Sue à son travail
Gardant le sourire
Et dans le monde c’est partout pareil
Pour la femme veuve qui s’éveille

L’ennemi t’assaille
Autour de toi resserre ses mailles
Femme de Shanghaï
Ou de Koustanaï
Du peuple massaïs
Veuve d’un monde qui défaille
Rien ne peut égaler ta taille

Lucie

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Vivre ou survivre

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Heure sonne matin
Pleure chagrin
Et repasse le film humide
Du passé dans les yeux

Court bien trop court
Notre amour
Et les appels au secours
Savent qu’un sourd n’entend pas ce qu’il veut

Et pourtant il faut vivre
Ou survivre
Sans poème
Sans blesser tous ceux qui l’aiment
Être heureux
Malheureux
Vivre seul ou même à deux

Mais vivre pour toujours
Sans discours
Sans velours
Sans les phrases inutiles
D’un vieux roman photo

Fleurs fanées meurent
Noir et blanc
Seules couleurs
D’un futur qui est déjà le passé pour nous

Et pourtant il faut vivre
Ou survivre
Sans poème
Sans blesser ceux qui nous aiment
Être heureux
Malheureux
Vivre seul ou même à deux

Et pourtant il faut vivre
Ou survivre
Sans poème
Sans blesser ceux qui nous aiment
Être heureux
Malheureux
Vivre seul ou même à deux

Mais vivre en silence
En pensant aux souffrances
De la terre et se dire
Qu’on est pas les plus malheureux

Quand dans l’amour
Tout s’effondre
Toute la misère d’un monde
N’est rien à côté d’un adieu

Et pourtant je veux vivre
Ou survivre
Sans poème
Sans blesser tous ceux que j’aime
Être heureux
Malheureux
Vivre seul ou même à deux

Oh oh
Vivre ou survivre
Seul ou même à deux

 

Partir avant les miens

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Petite foule danse
Autour d’un corps s’endormant
Douceur immense
Pour le départ d’un parent
Calmement
Peint aux couleurs de l’artifice
Des bleus lisses et roses et blancs
Et lentement
Visages tendres sur l’herbe glissent
Se sourient en chuchotant
Et sans le moindre tourment
Ils fêtent mon enterrement

Cendres folles et s’envolent
Sous les yeux pâles et contents
Et s’unissent aux lucioles
Pour vivre un dernier instant
Et à jamais
Restent en suspens

Et j’ai souvent souhaité
Partir avant les miens
Pour ne pas hériter
De leur flamme qui s’éteint
Et m’en aller
En gardant le sentiment
Qu’ils vivront éternellement
Et simplement
Qu’ils fassent que la nuit soit claire
Comme aux feux de la Saint-Jean
Que leurs yeux soient grands ouverts
Pour fêter mon enterrement

Père et mère, sœurs et frères
Je vous aime puissamment
N’adresser aucune prière
Où que j’aille je vous attends
La poussière
Vit hors du temps

Il faut rester à la lumière
Dansez, buvez en me berçant
Que je vous aime en m’endormant

 

balavoine3.jpg Merci d’être passé sur cette foutue planète Terre… Que Dieu te garde…

 

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